Le i, c’est un petit bonhomme qui jette son chapeau en l’air.
Le u, c’est le bout d’une gouttière au bord du toit.
Le o, c’est une lucarne ronde.
le n, c’est le trou du chat dans la porte du grenier.
Le s, c’est la couleuvre qui a mangé une de ses soeurs.
Le c, c’est le chat quand il dort, couché en rond.
Au bout d’une quinzaine de jours, la souris grise avait appris de cette façon toutes les lettres de l’alphabet.
Tout aussi bravement, elle apprit à les rassembler pour faire tu, pour faire lulu, ou fifi.
Et, vers la fin de l’année, cette petite bête lisait aussi bien que vous et moi. Peut-être mieux !